Ce qui se passe chez Mara Vellous, c’est un peu mara-veilleux. Non, je ne suis même pas payée cher pour faire des jeux de mots pourris. C’est naturel, oui, le naturel, c’est important. Je suis une sorte de Gwyneth Paltrow du CrossFit®, la commercialisation de bougies à l’odeur de fouffe en moins. Mais assez parlé de moi, on va finir par croire que je suis auto-centrée (auto-tamponneuse, éventuellement, mais pas auto-centrée).
Bref, voilà voilà comme dirait l’autre. Mais l’autre, c’est qui? Bah, sale gosse, c’est mal poli de dire « l’autre ». Tout ça pour vous parler d’une dealeuse de paillettes (qui brillent, pas celles de ketamine. Raoul, tu vas les enlever tes putains de chaussures de golf?). Donc la dame qui a plus d’inspiration que le costumier de Kylie Minogue (et ce n’est pas peu dire), c’est Adeline aka Mara Vellous. Bah oui, comme les super-héros, elle a un nom de scène. Sinon, tu comprends, les fans qui rentrent chez toi pour voler tes cheveux dans la bonde de douche, ça va 5 minutes.


Et Adeline n’a pas un goût prononcé pour les masques et les vêtements en élasthane, même je ne sais pas ce qu’elle fait sur son temps libre, est DA. Ouais, dans ta face LinkedIn. Si tu n’habites pas dans le monde merveilleux des acronymes, sache que DA, c’est directrice artistique. A priori, pour les gens qui ne travaillent pas rue des Filles du Calvaire, ça revient à graphiste chargée de communication. Un peu comme ma mamie Colette avec ses livres de mandala, Adeline kiffe l’odeur des feutres. Et, pour ne rien gâcher, elle sait les utiliser pour faire autre chose que marquer joliment qu’il faut racheter du PQ, sur ton carnet à 10 balles de chez Papier Tigre.
Avant, elle faisait du roller-derby. Ouais, comme Harley Quinn, les hallu en moins. Désormais, elle est passée du côté obscur du CrossFit®. C’est elle qui le dit. J’espère juste qu’elle ne sniffe pas de whey. Ca ne fonctionne que si tu fais partie de l’église de Maradona (si, si, ça existe). Et pendant que toi, tu attends que la faucheuse déboule de derrière le rack pendant tes cals à l’assault bike, elle, elle a eu l’idée de créer sa marque. Preuve d’une élasticité neuronale hors du commun. Personnellement, le seul truc auquel j’arrive à penser pendant le vélo infernal, c’est « ne bave pas, meuf ».
Elle a commencé pour les copains, en lice pour différents contests. Histoire de se la jouer plus coordonnées que les Power Rangers (et merde, encore une histoire d’élasthane).

Son tout premier modèle? Les Dragon Wallballs. Oui, toi même tu sais. Parce que faire un Karen, c’est pire que de trouver les boules de cristal, non? (apparemment, Gwyneth n’est pas tout à fait d’accord sur ce point, mais c’est une friponne). Quoi qu’il en soit, on sait parfaitement que Krilin ne kiffe pas ce mouvement. Mais comme il peut nous plastifier la tronche, on fait moins les malins.
Pour le nom, Adeline a pensé à un nom et un prénom, un peu comme si cette marque, c’était notre copine imaginaire (big up à Françoise). Et a imaginé un petit jeu de mots en mode Downtown Abbey transpire du corset, parce que Mara Vellous, si tu fais la fusion de Super Saiyan, ça donne maravellous. Si tu n’as pas encore mis sur le cul ton litre de Guinness, it means « merveilleux/merveilleuse ». Oui, comme la meringue recouverte de chocolat. Slurp. Merde, pardon. Je range Mercotte dans sa boîte.
Et question philosophie? Oh je dirais que Mara Vellous, c’est un savant mélange entre Descartes et une conception profondément platonicienne du monde. Hein? Vous pouvez répéter la question? Pas cette philosophie-là? En fait, le credo de Mara Vellous, c’est de détourner la pop culture, à la sauce magnésie, tout en faisant des bisous aux tortues. Bah oui, la gamme a une démarche respectueuse de l’environnement.





Tu aimes les détails? Tu veux des chiffres? Des statistiques?
- Les vêtements Mara Vellous sont 100% en coton bio.
- Ils sont Fair Wear, c’est-à-dire que les droits fondamentaux des travailleurs qui les fabriquent et leur conditions de travail sont respectés. (https://www.fairwear.org/)
- Ils respectent la norme STANDARD 100 by OEKO-TEX, c’est à-dire qu’ils ne contiennent pas de produits chimiques dangereux pour la santé ou l’environnement. (https://www.oeko-tex.com/)
- Les encres utilisées pour l’impression des motifs sont écologiques.
- Ils sont imprimés et réalisés en France.
- Toutes les commandes sont expédiées en mode «zéro plastique» dans des pochettes en carton recyclable de qualité label FSC (label environnemental certifiant que le bois provient de forêts gérées de façon durable et responsable).
- Les flyers et bordereaux sont imprimés sur du papier recyclé.

Et cerise sur la pile de fruits déguisés, tu peux envoyer du love à Mère Nature, et être une licorne pailletée, puisque le tout nouveau modèle de la marque se la joue « Lift Like A Unicorn ». Comme on kiffe quand ça fait des guilis dans ton bidon, tu peux tenter de le gagner (à partir du 22 janvier)…
Je ne connaissais pas, je vais faire un tour sur leur site ! *
Merci Clémence
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