Shopping, Test

Permis de DROPPER

Qui n’a jamais rêvé d’être une Tortue Ninja? Certes, vivre dans les égouts, ça peut être la solution à un marché locatif très tendu, mais ce n’est pas l’idéal. Non seulement tu dois investir dans un déshumidificateur Rubson mais tu as un clown psychopathe adepte des fards gras Make Up Forever en guise de voisin de pallier. Ou de canalisation.
Reste que ton mentor est un gros rat zen qui peut mettre une race à n’importe quel préado qui pense qu’écouter Jul, c’est le début de la rébellion et tu peux manger des pizzas jusqu’à épuisement car tu as un métabolisme radioactif. En dehors de ma naissance l’année de Tchernobyl, me causant la pousse régulière d’organes supplémentaires, j’ai toujours eu une fascination un peu étrange pour les bandeaux, bracelets et autres chichis. Enfant, j’ai tenté de sauter sur mon chat, armée de fourchettes et coiffée de la ceinture du peignoir paternel, histoire de prouver au monde que j’étais l’équivalent humain, et féminin, d’une Tortue Ninja.

IMG_8802
Manifestement, Anne-Lise a également vécu ce genre d’expérience aux frontières du réel. Lassée de ne pas avoir de wraps dignes d’une Tortue Ninja, une vraie, elle a décidé de lancer sa propre marque.
C’est ainsi que l’aventure Dropper a débuté : de l’envie de ne plus être une anonyme du protège-poignet. Pour le nom, pas besoin d’aller chercher dans le Bottin Mondain : le vocable CrossFit s’impose naturellement. What else?, aurait dit ce bon vieux Georges avant qu’il ne se mette les mains dans les couches lavables de ses jumeaux. Tempête sous un crâne : le brainstorming a débuté. Clean? Bien mais un peu trop Monsieur Propre. Jerk? Rigolo, sauf si tu es angliciste. Certes absent du Passeport vacances de 5e, le terme « jerk » n’est pas seulement un mouvement qui te donne l’impression de jouer à La Tour de la Terreur avec une barre au-dessus de la tête, ça veut aussi dire « connard ». Ah le charme de la polysémie.

IMG_8816
Bientôt Dropper s’impose. Après tout, nombreux sont les mouvements pour lesquels on finit par dropper sa barre. Mouvements nécessitant souvent des wraps. Bien sûr, quand je dis wraps, je parle de bandes pour protéger nos petits poignets fragiles, et pas de gros burritos qui font passer ton taux d’insuline pour un jackpot Euromillions. C’est donc parti pour un tuto Modes et Travaux, made in Toulouse. Là, Anne-Lise se fait aider de Bernard de La Villardière afin de connaître les filières secrètes des fabricants de tissus.
Une fois dans le sérail, elle coupe des doigts avec des guillotines à saucissons et décide de diversifier son activité. Naturellement, elle se tourne vers les vêtements.
L’idée de départ? Proposer une gamme qui ne t’oblige pas à finir ton WOD en mode vacances naturistes à Montalivet. Parce que c’est cool le poumpoum short et la brassière quand tu es à l’aise avec ton body. Par contre, pour toutes celles qui ont quelques complexes, c’est parfois difficile de woder avec des fringues aussi peu respirantes qu’une combi en latex, un soir d’audace au club SM Pousse-toi de là que je m’y mette à Saint-Jean de Folleville.
Ainsi, Dropper propose des débardeurs qui te couvrent le chalala mais permettent à ta peau de vivre sa vie. Mieux encore, si ce top permet de couvrir ce qu’il faut, là où il faut, il a la bonne idée de ne pas flirter avec la chemise de nuit. La coupe est jolie, agrémentée par de larges bretelles très graphiques et est pile à la bonne longueur, histoire de ne pas finir avec ses fringues coincées dans le siège du rameur. Parce que faire du rameur, c’est chiant, mais si, en plus, on frise la désincarcération à chaque fois, ça peut vite devenir lourd. Sauf si vous voulez pécho du pompier. Là, il faut assumer.

IMG_9014
Quant aux wraps, que dire. Forcément, en m’envoyant un modèle avec des licornes, Anne-Lise a tapé dans le mille. Oui, je sais, je suis faible. C’est aussi ce que me répète le prêtre le dimanche. En attendant mille souffrances en Enfer, je peux vous dire que les wraps sont suffisamment épais pour être rigides, sans pour autant friser la pâmoison de l’articulation. Le tissu se lave bien, sèche vite et ne retient pas trop les odeurs. OK, je ne tenterais pas de les oublier dans le fond de mon sac au soleil pendant des jours…De toute façon, cette expérience est impossible. J’habite en Normandie, il n’y a pas de soleil. Mais en tout cas, pas besoin de les laver tous les jours.
Dropper a également développé des sacs et toute une gamme pour les barbus, poilus, … Du col V pour ne plus se faire étrangler, du col rond pour faire croire qu’on n’arrive plus à respirer et prendre une pause en plein metcon, … Bref, de quoi plaire à tous, aspirants Tortues Ninja ou pas.
A découvrir sur leur site www.dropper-apparel.com ou lors d’événements dans les box.

ConcoursRendez-vous sur la page Facebook du blog ainsi que son profil instagram pour tenter de gagner des cadeaux Dropper.

fb

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s