Au détour d’une kettlebell ou d’une journée à chiller devant une compétition d’haltéro sur l’Equipe TV, vous connaissez forcément Eleiko ! Pour tous ceux qui ont définitivement vendu leur âme à Netflix et se sont enquillés l’intégrale de la Casa de Papel en 48 heures, on vous fait un résumé des épisodes précédents.
Il était une fois dans les contrées rafraîchissantes qui ont vu naître ABBA, une entreprise de petit électroménager. Ici, ce n’est pas le cuiseur instantané pour boulettes IKEA qui sert de cœur de métier, mais plutôt les gaufriers. On les comprend. Au brunch, avec des myrtilles, c’est à peu près la seule raison valable de se lever. Sauf qu’un beau jour de 1957, un des responsables, fervent haltérophile de surcroît, a une idée. Il en a ras le pantalon patte d’eph des barres d’haltéro en kit (ironique pour un suédois, mais bon, passons). Il propose à la directrice générale d’Eleiko de développer des barres d’haltérophilie de qualité. Voilà brièvement le début de l’histoire. Et depuis, telle une dancing queen du weightlifting, la marque est devenue incontournable. Elle fournit, notamment, le matériel pour les Jeux Olympiques ou les Championnats du Monde d’Haltérophilie.
Si tu as déjà eu l’occasion de mettre tes mimines sur une barre Eleiko, tu as probablement eu une envie assez irrésistible de partir avec via, l’issue de secours la plus proche. Mais comme tu n’as pas forcément envie de passer un petit week-end tranquilou dans les geôles du commissariat le plus proche, tu as reposé l’animal illico presto.
Or, la bonne nouvelle, c’est qu’Eleiko se diversifie et propose désormais une gamme de vêtements pour s’entraîner. L’autre bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas besoin d’être Mattie Rogers ou d’avoir ses performances pour les porter.
J’ai eu la chance de recevoir la brassière Balance, le t-shirt et le legging Elevate. Dès le déballage du colis, je suis en mode « je fais une petite crise d’hystérie ». Un peu comme la dame agaçante dans la pub JustFab. Sauf que je n’ai pas de corne de brume parce que j’ai peur de mes voisins, membres d’une triade de ninjas. J’aime beaucoup le jeu entre le rose et le gris acier. Un peu girly sans tomber dans le côté Barbie. Et pour celles qui sont allergiques au rose, sachez que la marque décline sa gamme femme dans des coloris gris et vert foncé.
D’office, je remarque que le tissu est assez épais, tant sur la brassière que le legging. Pas de défilé Victoria’s Secret, ou Sloggi, inopiné lors d’une séance de squats. La matière du tshirt est plus fluide. A ce sujet, j’ai quelques craintes car je préfère woder avec des débardeurs en coton. Mon côté old school, certainement. Voilà pour les premières impressions.
Verdict à l’usage?
La brassière Balance : je l’aime beaucoup ! Avec ses larges bretelles, elle est excessivement confortable. Finis les trapèzes en mode « ficelle sur le rôti du dimanche ». Le rembourrage amovible permet d’apporter plus de couvrance. La brassière emboîte bien la poitrine. Niveau support, elle idéale pour des activités à impact faible ou moyen, comme les sessions d’haltérophilie, de renforcement ou les WODs sans trop de sauts, surtout si vous avez une poitrine plutôt généreuse. Le dos, joliment croisé, est non seulement original et stylé, tout en offrant une belle liberté de mouvement.
Le t-shirt Elevate : j’ai changé d’avis ! Désormais, je fais des infidélités au coton. Le tissu est très léger, presque frais sur la peau. Il ne retient pas du tout la transpiration et permet de woder sans avoir l’impression d’avoir fait un séjour prolongé dans un lave-linge ou un marécage de Louisiane. Les détails qui tuent? La ventilation, le long de la colonne vertébrale et sous les bras, ainsi que le motif en silicone dans le dos. A quoi ça sert? A maintenir la barre en place plus facilement et éviter qu’elle ne glisse. Un véritable atout lors des grosses séances de backsquats.
Le legging Elevate : il est devenu indispensable ! J’adore les jeux de couleurs et de textures sur le collant. Mais ces dernières ne sont pas là pour rien. Les panneaux en DURATEC® au niveau de la cuisse et du tibia permettent de protéger les jambes du contact avec la barre. La coupe est bien ajustée, presque autant qu’avec un legging de compression (élément à prendre en considération lors du choix de la taille…qu’il faudra peut-être choisir un peu plus grande que d’habitude), tout en restant super confortable. Bien entendu, le legging n’est absolument pas transparent. Petit bonus (non négligeable) : un cordon de serrage permet d’ajuster le collant, ce qui, pour moi, est indispensable pour un legging (une expérience à base de DU et de fesses à l’air m’a convaincue de l’intérêt du cordon de serrage !).
En bref, Eleiko a bien fait les choses ! Le grand soin qu’ils mettent à concevoir leur matériel d’haltérophilie se retrouve dans la conception de cette gamme de vêtements. Elle est bien pensée et super qualitative. Elle ne garantit pas les PRs, mais permet de s’entraîner sans que les vêtements soient une contrainte.
Merci à Eleiko France de m’avoir permis de découvrir ces superbes produits.
Brassière Balance, 46€
T-shirt Elevate, 55€
Legging Elevate, 74 €
La gamme est disponible sur https://strengthwear.eu/ et The Affiliates Store : http://www.theaffiliatesstore.com/
CONCOURS // Gagnez votre tenue Eleiko ! Pour tenter votre chance, rendez-vous sur la page Facebook du blog et sur son compte instagram.
Merci pour le test!! Ca donne envie d’essayer!!
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Merci beaucoup pour ton retour Franklin. N’hésite pas à participer au concours sur FB et Instagram pour tenter de gagner ta tenue 🙂
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J’adore me sentiment de tous sportif devant une Barre Eleiko ! Très realiste…. bah voila 3 ans que je m’en sui payé une (certifiée competition)…ok ça vaut pas loin de 1500€ mais 1) vu que je ne fume plus depuis cinq ans et que 2)depuis je n’ai plus aucun besoin de changer sans arret de barre !….alors c’est peut etre le meilleur achat de ma vie. elle est doublement amortie. …et pour beaucoup moins …genre 1000€ sans colliers specifiques vous avez la version training (la même grosso-modo…sans le sticker bleu qui fait rever devant les compet de Weightlifting)
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