Hooray for boobies !

Message à caractère informatif : a priori, messieurs, ceci est un article qui risque d’être un peu trop girly pour vous. Mais comme vous avez un goût immodéré pour le bench press, certains y trouveront peut-être l’inspiration pour savoir quoi faire de leurs gros tétés.

DU, box jump, course,…Dans certains WODs, il y a plus d’impacts que dans un film de Michael Bay.

Quand on a une petite poitrine, c’est déjà embêtant…mais quand on fait concurrence aux boobs de Dita Von Teese, ça craint franchement. Certes, c’est sympa d’enchaîner les tours de corde à sauter comme à la grande époque des yaourts à boire, des BNs et des gommettes…reste que nous n’avons plus 7 ans et que si nous ne prenons pas soin de Ben & Jerry, tôt ou tard,la malédiction des gants de toilette risque de nous tomber sur le coin du soutif.

Pas besoin d’appeler Van Helsing ou des sorcières blanches pour rompre la malédiction. La seule solution : investir dans un soutien-gorge de sport. Oui, un soutien-gorge, pas une brassière ! Parce que si Mère Nature a été généreuse de ce côté-là, une brassière ne suffit pas toujours (ça vous brise le cœur? Dites-vous que vous touchez le sol plus vite sur les burpees et les push-up). L’une des marques référence en la matière? Anita.

Avec sa gamme Active, la marque allemande propose des soutiens-gorge de sport à la fois techniques, colorés et adaptés à tous les sports et toutes les morphologies (grâce à différents niveaux de soutien). Avec le CrossFit, autant ne pas lésiner sur les moyens. Aussi, pendant plusieurs semaines, j’ai testé l’extreme control, modèle qui offre le plus de maintien.

Dès réception du colis, j’ai un gros coup de cœur pour les coloris. Certes, ce n’est que secondaire sur un produit technique mais ça sert toujours pour se sentir bien ! Exit les nuances tristounettes, j’ai reçu un ensemble aux couleurs du Brésil. Moralité, le shorty et le soutien-gorge ne dénoteraient pas à la plage, pour une partie de volley-ball (ma chériiiiiiiie ! Je me sens comme la Cristina Cordula de la box).

Par un savant jeu de tissus techniques, impossible de transpirer comme un paléovore devant une galette des rois. L’humidité (oui, je sais, ce mot est tellement glamour) est vite évacuée et nos attributs féminins ne ressemblent plus à un parisien chauve et sans ciré, un jour d’automne à Deauville.

Les bretelles molletonnées évitent tout frottement sur la peau, idem pour les bonnets sans couture intérieure. Le soutien-gorge extreme control n’a pas d’armatures, mais pas d’inquiétude, ça n’a pas d’importance… Enfin, si. J’ai déjà eu le malheur de tester un soutien-gorge de sport avec armatures lors de WODs avec du rameur. Bim bam boum, le bâton qui tape sous les seins, c’est la fiesta des hématomes. Autant ne pas avoir d’armatures, surtout quand le soutien est au rendez-vous. Et puis, attention chère Maryse, l’extreme control maintient mais n’écrase pas. Finie la désagréable impression d’étouffer (du moins, au niveau de la poitrine. Pour le reste, il faut travailler votre cardio, les cocos). C’est la libertété (OK, je vais me coucher). CrossFit, course, …on peut tout faire ! Le seul petit hic de l’extreme control ? Sachant que je ne porte que des débardeurs, j’aurais préféré un dos nageur. Cette forme existe pour d’autres modèles de la marque.
Bref, je n’ai qu’une envie…en acheter d’autres !